J'aime assez imaginer « Marcel » dans les tenues les plus délirantes mais qui m'excite le plus. Le retrouvé ainsi me procure un plaisir qui provoque des lames profondes qui secouent mon être.

Nous passons des vacances, quelques jours, dans une station balnéaire mais le soleil brille dans nos dépendances alors qu'au dehors le temps est gris. Je le laisse me désirer je veux voir durcir chez lui, mamelons et autres attributs, tel ce vit qui surgit gardant un mont. Il doit faire le repas, repasser, faire les achats.... Mais auparavant je le prépare. Je le fais beau, je lui donne la quintessence de mon amour mais il doit rester de marbre. Je le plug, je lui mets des pinces sur les mamelons durs comme il se doit. Il revêt un tablier pour seul vêtement. Je me prends à imaginer que des amis doivent venir pour le déjeuner et qu'il lui faudra tenir son rang. Gourmandise à la discrétion des convives. Pour ma part, je l'imagine sucer mon clito alors que nous dégustons des huitres. Imaginons le sucer un des mes amis et je prends plaisir à le goder.

Que de perspectives à partager.La soubrette est là, active et comme je l'aime, presque nu. Je le fais se baisser sans plier les jambes, je le fais s'asseoir sur une table promu à table d'élargissement vu la présence d'un plug de taille moyenne. J'aime aussi « souiller » la soubrette de confiture, de nutella... afin d'en lècher le sucré. Comment ne pas penser à tremper les apéritifs de crudités dans la cyprine à disposition ?

J'aime cette soubrette, la fesser comme il se doit, la pluger à l'envie.... pour la conduire sur le chemin de l'obéissance et des émotions. Savourer la douleur de la douceur. Voilà cette soubrette déconcertante qui se cache sous le manteau de Marcel.