Exploration

Aujourd'hui, le calme propice, la pénombre bienvenue et toi, dans cette chaleur bienveillante attendant le bon vouloir de Jacqueline. Jacqueline, tout le monde le sait, un pseudo pour dissimuler un amoureux débordant ainsi que toi, Marcel cachant une perle d'amour, ma merveilleuse amante aimée.

Tu es recouverte d'un châle transparent, des liens entravent tes pas, des menottes lient tes poignets et un

string lacet relié aux menottes et aux liens des chevilles. Tu attends, regard baissé, inquiète de ce qui peut arriver. En effet, tu es dans un vestibule et je t'ai demandé de te préparer ainsi parce que je vais t'emmener ailleurs dans cette demeure que tu ne connais pas et qui ne m'appartiens pas. Tu ne souhaites pas être en présence d'autres personnes mais tu ne pas dit que c'était pour toi une limite. Aussi, personne n'est là mais des enregistrements de voix, de bruits divers sont là et lorsque tu seras masquée tu ne sauras que ce que ton imagination et ta confiance en moi te diront. Je te fais patienter 20 minutes.

Trois pièces vont être à l'honneur pour toi, la première est la cuisine, la seconde est le salon et la troisième est le boudoir.

Lorsque je vais te chercher, je te demande si tout va bien et ta réponse « Bien Mon Maître » surprenante de tonalité. Je recouvre ta vue d'un bandeau afin que tes autres sens prennent le relai. Je te demande de ne poser aucune question, seule la maison¹ parlera à qui sait l'entendre. Ce sera à toi, soumise maïa (je te donne un nom, c'est en mon pouvoir). Maintenant commence ton périple, je ne veux plus entendre que le silence de ta respiration. Le long des corridors pour accéder à la cuisine, tu entends des bruits alors que je commence à t'enlever le châle, les menottes et j'entends ta respiration changer. Tu ne dis rien car c'est une fessée chaque fois que tu rompts le silence. Je te demande dans la cuisine de monter sur la table de t'allonger sur le dos. J'attache tes poignets aux pieds de la table et j'enlève les liens qui entravaient ta marche. Ton dos, tes fesses sont au bord de la table et des étriers se trouvent à chacun des pieds de la table.Tes pieds y trouvent leur place et y sont attachés. Des bruits de couverts, d'assiettes..., de voix lointaines laissent à l'imagination. C'est alors que je commence à explorer ton sexe, ma langue joue avec tes lèvres, ton petit bouton et très vite je te sens excitée. J'aime goûter le choux fleur cru recouvert de cyprine c'est pourquoi je le trempe dans ton intimité. Les petites tomates, les carottes crues.... tout y passe. Le bruit des voix se rapproche je te sens inquiète car ma présence est plus lointaine et l'excitation se dissipe. Plus de voix, un silence et des bruits de pas. Tu sens une main glisser vers ton intimité laisser à la vue des cuisiniers qui par chance pour toi ne sont pas là mais tu ne le sais pas.Du gras que tu n'arrives à identifier lubrifie ton sexe et un doigt, puis deux, puis trois, puis quatre s'introduisent. Ils gagnent la chaleur du lieu et préparent la venue des produits du jardin. Cucurbitacées en tout genre, carottes, poireaux tout y passe alternant les petits gabarits, les moyens et les plus gros. Ton sexe subit les outrages du jardin, rien ne t'est épargné mais tu sembles apprécier ces légumes à consommation bien étrange.

Je te détache et me tient à petite distance de toi. Je pense déjà ...mais il est trop tôt !

Je te remets un string afin que tes sécrétions soient recueillies. Tu repars ainsi que tu étais venue les mains attachées, tes chevilles entravées par des liens mais je te décore de deux petites pinces que j'accroche à tes mamelons.

Nous cheminons vers le salon, des bruits de voix, des odeurs de cigarettes, de cigares arrivent jusqu'à nous. Tu es inquiète, mélange d'excitation et de peurs irraisonnées que la confiance n'a pas réussi à faire taire. J'aime quand tu chemines ainsi car tu apprends sur toi-même plus que sur des discours qui n'ont pas lieu d'être.

Au salon, je te fais t'agenouiller sur un coussin, je te mets un collier et le rattache à tes chevilles par une cordelette qui s'insinue entre tes lèvres. Si tu bouges trop, tu risques de sentir le frottement de cette cordelette. Tu vas devoir sucer, c'est l'exploration buccale maïa toi qui adore dévorer mon sexe. Tu suces le concombre qui a visité ton intimité, un godemiché badigeonné de gel à la fraise, un plug qui couronnera ton petit trou, des boules de geisha...

Au bout de 15 minutes, je te délivre de tes liens afin que tu reprennes de l'autonomie dans tes mouvements. Tu gardes ton bandeau sur les yeux, tu n'as plus de liens, que le collier avec une laisse et un plug couvert de salive et de gel fraise que je te place en t'allongeant sur mes genoux.

Nous filons vers le boudoir, le désir, l'envie..... sont là. Ultime halte pour cette exploration. Exploration du petit trou, commencer par le plug, continuer par un godemiché puis par mon sexe.

Quelle promenade maïa, quelle amour de soumise. Etoile au firmament de mon être tu es mienne.

BDSM

De nombreuses définitions sur ce qu'est le BDSM et quelques sites que j'ai pu apprécier par leur apport technique ou par leur cheminement. Reste que la réflexion, dans cette quête, est de mise car les prédateurs sont nombreux.... Bonne lecture !

http://toutlesm.canalblog.com/

http://luuna.canalblog.com/

http://mehere.free.fr/

http://masseursensuel.over-blog.com/

http://www.fleshion.com/prod_list~shop~5~catid~185~affid~19037~lang~fr.htm

http://www.boutique-sm.com/fr/

http://maitredesjeux.canalblog.com/

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N'hésite pas, humble promeneur, promeneuse, noble jouisseuse, jouisseur... à nous indiquer des endroits bdsm qui nous aiderons à cheminer patiemment vers le plaisir de l'Amour 2D.

Marcel avait suivi toutes les consignes de Jacqueline, l'une après l'autre... sa culotte avait été enlevée... sensation étrange, se sentir à la fois offerte, rougissant sous les regards étrangers, cachant au mieux avec son imper sa jupe un peu courte, craignant que les passants ne devinent... Mais seule Jacqueline savait... Marcel se sentait observé, l'excitation était forte et douce... la pose du plog dans son petit trou posa problème, il se réfugia donc dans un café et se cacha dans les toilettes pour introduire l'objet, très fin, mais qui augmenta son excitation... sortir et marcher en public le gêna terriblement, Marcel cherchait Jacqueline, sans oser dévisager ces hommes qu'il pouvait croiser... le métro fut une épreuve redoutable, la promiscuité de toutes ces personnes, son corps qui brûlait d'envie, il cachait son visage, son trouble ne devait pas se voir! Il reçu le texto de Jacqueline avec l'adresse de l'hôtel, il était temps, son coeur battait à tout rompre, la sueur perlait sur son visage, coulait entre ses seins... Marcel apprécia la douceur de la rue, il avait hate d'arriver, mais prenait aussi plaisir à marcher, il sentait le vent sous sa jupe, caresser ses fesses, s'introduire entre ses cuisses, frais... son envie grandissait, le plug ne lui laissait aucune relache... il arriva à l'hôtel et trouva les consignes écrites de Jacqueline, son coeur battait toujours fort, il avait envie de s'étendre sur le lit, se laisser aller à ressentir... Jacqueline pouvait arriver, il devait donc être prêt. Il enleva son chemisier, garda son soutien-gorge, comme cela lui avait été demandé, il regarda longuement la pièce pour s'imprégner de l'espace avant de mettre le bandeau... il s'allongea, les mains serrant les barreaux du lit et replia un peu les jambes... sa jupe était courte, ses fesses ressortaient, rondes, offertes, ouvertes... l'envie commencait à le submerger, il sentait le bout de ses seins se durcir, de lents mouvements ondulaient son corps qui brûlait, son clitoris était gonflé, son sexe s'offrait à celui qu'elle attendait... Trois petits coups, c'était le signe... Marcel trésaillit, se mit à trembler, son souffle était court et haletant... pas un mot, il entendait des bruits furtifs, sentit sa jupe remonter sur ses reins, il sentait le regard de Jacqueline, cela l'excitait encore plus, il sentit ses mains écarter plus encore ses fesses offertes, ses carresses étaient fermes et douces... Marcel sentit alors une douleur vive qui lui arracha un cri, une pince enserrait ses lèvres, tout près de son clito qui allait exploser... Jacqueline retourna alors Marcel sur le lit et lui attacha tout de suite les poignets au montant du lit, sa jupe fut enlevée. La douleur de la pince devenait violente, Jacqueline joua alors avec le plug toujours dans son petit trou, le contraste de ces deux sensations saisissait Malcel au plus profond de son corps... Jacqueline sentait le désir l'envahir de plus en plus, elle enleva la pince et doucement passa sa langue sur les lèvres endolories, effleura le clito, sa bouche devint pressante, avide, aspirait le liquide de plaisir, cherchant à s'introduire entre ses lèvres offertes, au plus profond de l'intimité de Marcel...